Ce Yuusha m'en rappelle deux autres : Aestetica avec son côté magique et ecchi, ainsi que Hataraku maou-sama pour son contexte urbain. Stylé et attachant, l’idée m'échappe un peu dans le sens où on ne sait pas pourquoi tout le monde se retrouve dans cette situation. Une démone et des héros dans un magasin d’électroménager, c'est plutôt fort. Le scénario se déroule doucement et s'accélère à la fin.
Assez basique et manquant probablement de complexité (douze épisodes en même temps, cela reste peu), Yuushibu a le mérite de faire sourire et de nous octroyer un bon moment. Néanmoins difficile d'y revenir et de se remémorer un passage-clé.
Ce Yuusha m'en rappelle deux autres : Aestetica avec son côté magique et ecchi, ainsi que Hataraku maou-sama pour son contexte urbain. Stylé et attachant, l’idée m'échappe un peu dans le sens où on ne sait pas pourquoi tout le monde se retrouve dans cette situation. Une démone et des héros dans un magasin d’électroménager, c'est plutôt fort. Le scénario se déroule doucement et s'accélère à la fin.
Assez basique et manquant probablement de complexité (douze épisodes en même temps, cela reste peu), Yuushibu a le mérite de faire sourire et de nous octroyer un bon moment. Néanmoins difficile d'y revenir et de se remémorer un passage-clé.