Ah on va tempérer nos ardeurs, car oui, voici une déception assurée ! Cette série adapte les deux premiers jeux vidéo (Calamity Trigger et Continuum Shift) avec un lien du prochain jeu Chronophantasma. Je vous laisse donc vous renseigner sur l'univers.
Ici je donne mon ressenti : bah c'est loupé ! Même si on retrouve tout ce qui contribue au charme de la série vidéoludique, le format gâche une fois de plus tous les efforts du studio Hoods. On passe du premier jeu au second en quatre épisodes (!), avec des ellipses de malade mental (!!), et surtout avec des termes et bestiaires qui sont foutu n'importe comment (!!!). Du coup on sent que le studio a essayé de concilier le public fan et néophyte sans jamais savoir quoi faire. Le traitement narratif est hermétique, l'enjeu de tous les personnages reste opaque (même Ragna !), et certains méritent le détour tellement ils font de l'apparition fantôme (Taokaka). Étrangement ce sont les persos secondaires qui s'en sortent honorablement, ainsi que la musique reprise du support d'origine. Tout est fidèle mais mal agencé : ça passe trop vite, les ficelles de raccourci scénaristiques sont tendues à leur maximum, le visuel est quelconque, l'intérêt est saboté. Et vous savez quoi ? Il n'y a pas tant de combat que cela ! On assiste souvent à des dialogues interminables entrecoupées de quelques scènes de bagarre tournant en rond.
Tenez-vous aux jeux, au manga, bien plus exhaustives et qui eux, ont le mérite d'avoir suffisamment de temps pour vous faire prendre connaissance de la mythologie de BlazBlue comme il se doit. L’adaptation animée (exceptée deux ou trois scènes) est un gâchis sans nom, bien fade.
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Ah on va tempérer nos ardeurs, car oui, voici une déception assurée ! Cette série adapte les deux premiers jeux vidéo (Calamity Trigger et Continuum Shift) avec un lien du prochain jeu Chronophantasma. Je vous laisse donc vous renseigner sur l'univers.
Ici je donne mon ressenti : bah c'est loupé ! Même si on retrouve tout ce qui contribue au charme de la série vidéoludique, le format gâche une fois de plus tous les efforts du studio Hoods. On passe du premier jeu au second en quatre épisodes (!), avec des ellipses de malade mental (!!), et surtout avec des termes et bestiaires qui sont foutu n'importe comment (!!!). Du coup on sent que le studio a essayé de concilier le public fan et néophyte sans jamais savoir quoi faire. Le traitement narratif est hermétique, l'enjeu de tous les personnages reste opaque (même Ragna !), et certains méritent le détour tellement ils font de l'apparition fantôme (Taokaka). Étrangement ce sont les persos secondaires qui s'en sortent honorablement, ainsi que la musique reprise du support d'origine. Tout est fidèle mais mal agencé : ça passe trop vite, les ficelles de raccourci scénaristiques sont tendues à leur maximum, le visuel est quelconque, l'intérêt est saboté. Et vous savez quoi ? Il n'y a pas tant de combat que cela ! On assiste souvent à des dialogues interminables entrecoupées de quelques scènes de bagarre tournant en rond.
Tenez-vous aux jeux, au manga, bien plus exhaustives et qui eux, ont le mérite d'avoir suffisamment de temps pour vous faire prendre connaissance de la mythologie de BlazBlue comme il se doit. L’adaptation animée (exceptée deux ou trois scènes) est un gâchis sans nom, bien fade.