Il est resté assez longtemps mon anime d'automne 2013, avant que Kyousougiga ne vienne s'en mêler. Ma plus grosse attente d'automne ne m'a pas déçu, bien au contraire ! Ressortant d'un autre anime similaire (Tokyo Magnitude 8.0), on se retrouve dans la même périphérie, mais à un niveau mondial. Une catastrophe nucléaire a fait que Tokyo est devenu un no man's land, avec quelques rares survivants. Les Coppelion, personnes génétiquement modifiées possédant des caractéristiques spécifiques, peuvent vivre dans les radiations les plus extrêmes. Le trio féminin que l'on suivra, tentera d'aider ceux qui sont restés. Coppelion n'est pas vraiment réaliste car chaque situation semble réellement trop exagéré : le trait graphique, entre le pastel, la saturation des contrastes et l'ombre "encre de chine" (contours des personnages élargis) renforcent cet état de fait.
Le trio a été conditionné dès leur naissance pour un but précis, et encore inconnu. Ces filles ne sont d'ailleurs pas seules puisque l'armée les assiste (on sent qu'il existe des tensions entre eux). Coppelion amène de petites intrigues donnant libre à cours à du sauvetage, des petits combats audacieux, la mort de personnages secondaires ainsi qu'à la fuite devant d'autres poupées. Le terme 'poupée' revient souvent, en référence aux antécédents de ces jeunes filles aux émotions hyperboliques (qu'on me dise pas qu'Aoi est 'normale') ! Ce qui est rassurant c'est de voir que le studio passe d'un sujet sérieux à un délire absolu aux multiples références (To Aru Railgun, la Guerre des Mondes, Terminator...). Coppelion devient peu à peu très caricatural mais remarquablement bien réalisé dans sa mise en scène, sans se dire qu'on assiste à de grosses ficelles. Apocalyptique et profond sans l'être vraiment. On essaie de comprendre ce qui s'y produit et on suit tout ce triste monde. L'OST confirme mes dires, avec un ending juste parfait, et qui demeure ma piste de l'automne. On regrettera néanmoins le fait de devoir prolonger l'aventure par la case "manga"...
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Il est resté assez longtemps mon anime d'automne 2013, avant que Kyousougiga ne vienne s'en mêler. Ma plus grosse attente d'automne ne m'a pas déçu, bien au contraire ! Ressortant d'un autre anime similaire (Tokyo Magnitude 8.0), on se retrouve dans la même périphérie, mais à un niveau mondial. Une catastrophe nucléaire a fait que Tokyo est devenu un no man's land, avec quelques rares survivants. Les Coppelion, personnes génétiquement modifiées possédant des caractéristiques spécifiques, peuvent vivre dans les radiations les plus extrêmes. Le trio féminin que l'on suivra, tentera d'aider ceux qui sont restés. Coppelion n'est pas vraiment réaliste car chaque situation semble réellement trop exagéré : le trait graphique, entre le pastel, la saturation des contrastes et l'ombre "encre de chine" (contours des personnages élargis) renforcent cet état de fait.
Le trio a été conditionné dès leur naissance pour un but précis, et encore inconnu. Ces filles ne sont d'ailleurs pas seules puisque l'armée les assiste (on sent qu'il existe des tensions entre eux). Coppelion amène de petites intrigues donnant libre à cours à du sauvetage, des petits combats audacieux, la mort de personnages secondaires ainsi qu'à la fuite devant d'autres poupées. Le terme 'poupée' revient souvent, en référence aux antécédents de ces jeunes filles aux émotions hyperboliques (qu'on me dise pas qu'Aoi est 'normale') ! Ce qui est rassurant c'est de voir que le studio passe d'un sujet sérieux à un délire absolu aux multiples références (To Aru Railgun, la Guerre des Mondes, Terminator...). Coppelion devient peu à peu très caricatural mais remarquablement bien réalisé dans sa mise en scène, sans se dire qu'on assiste à de grosses ficelles. Apocalyptique et profond sans l'être vraiment. On essaie de comprendre ce qui s'y produit et on suit tout ce triste monde. L'OST confirme mes dires, avec un ending juste parfait, et qui demeure ma piste de l'automne. On regrettera néanmoins le fait de devoir prolonger l'aventure par la case "manga"...