Sunrise semble se perdre ces dernières années, et la plupart d'entre vous seront d'accord avec moi. Quand j'ai vu le premier épisode je me suis demandé si on était vraiment chez le studio de Code Geass et des Gundam. De nombreux passages incroyablement mous, du fan-service mal dissimulé (paf paf la poitrine, hymne des lycéens niais au possible). Si le scénario a du potentiel, il est dans le premier arc mal abordé. On passe neuf épisodes sur l'indépendance des lycéens pour une cause perdue et dangereuse. Le chara-design est correct, les mecha plutôt bien faits, et l'action bien délimité. La forme y est, le fond est accessoire et surtout générique, afin de toucher le plus grand public possible. L'arc 2 remonte pas mal le niveau avec les épisodes 13 à 17 épiques, avec cette fois tout ce qui s'y cache. On a l'impression d'avoir zappé toute l’intrigue tellement qu'on est surpris ! Hélas, on dirait que l'équipe du premier arc est revenu puisque les derniers épisodes paraissent aussi chiants que le début, avec des personnages complètement nazes et naïfs. "Bordel, mais tu ne vois pas que tu fous la merde" ? C'est le genre de réplique que j'ai sorti de nombreuses fois.
Valvrave déçoit, alors qu'il avait toutes les cartes en main, avec une intrigue sous-exploitée et très mal amenée, qui décrédibilise tout un casting prometteur digne de l'empathie forcée et d'enjeux aussi désabusées que caricaturaux. Et ce n'est pas la pseudo-scène de viol et de sang qui relèvera le niveau ! Valvrave n'est pas non plus mauvais, il a juste dix ans de retard, faisant preuve d'amateurisme sur ce qu'il veut raconter.
[CRITIQUE ENGLOBANT LA SAISON 1]
Sunrise semble se perdre ces dernières années, et la plupart d'entre vous seront d'accord avec moi. Quand j'ai vu le premier épisode je me suis demandé si on était vraiment chez le studio de Code Geass et des Gundam. De nombreux passages incroyablement mous, du fan-service mal dissimulé (paf paf la poitrine, hymne des lycéens niais au possible). Si le scénario a du potentiel, il est dans le premier arc mal abordé. On passe neuf épisodes sur l'indépendance des lycéens pour une cause perdue et dangereuse. Le chara-design est correct, les mecha plutôt bien faits, et l'action bien délimité. La forme y est, le fond est accessoire et surtout générique, afin de toucher le plus grand public possible. L'arc 2 remonte pas mal le niveau avec les épisodes 13 à 17 épiques, avec cette fois tout ce qui s'y cache. On a l'impression d'avoir zappé toute l’intrigue tellement qu'on est surpris ! Hélas, on dirait que l'équipe du premier arc est revenu puisque les derniers épisodes paraissent aussi chiants que le début, avec des personnages complètement nazes et naïfs. "Bordel, mais tu ne vois pas que tu fous la merde" ? C'est le genre de réplique que j'ai sorti de nombreuses fois.
Valvrave déçoit, alors qu'il avait toutes les cartes en main, avec une intrigue sous-exploitée et très mal amenée, qui décrédibilise tout un casting prometteur digne de l'empathie forcée et d'enjeux aussi désabusées que caricaturaux. Et ce n'est pas la pseudo-scène de viol et de sang qui relèvera le niveau ! Valvrave n'est pas non plus mauvais, il a juste dix ans de retard, faisant preuve d'amateurisme sur ce qu'il veut raconter.